« novembre 2006 | Accueil | janvier 2007 »
Perdue dans l'Atlantique
tout la-haut vers le nord
une île fantastique
une île que j'adore
ici les éléments
sont plus qu'ailleurs présents
glaciers et volcans
s'y livrent un dur combat
l'eau dans tous ses états
l'air dans tous ses émois
Islande, je songe à toi...
(album-photo à gauche et récits de voyage dans la rubrique"catégories")
 |
riches de rêves...
Mais qui étaient Melchior, Gaspard et Balthazar?...réponse ici
En ce jour de Noël bien triste et froid, on a sorti les crayons de couleurs pour ensoleiller le ciel et réchauffer les coeurs...
Quand Fazil Say interprète Mozart...Variations sur un thème ;)))))))
Téléchargement 10_piste_10.wma
Téléchargement 11_piste_11.wma
Promeneur si par hasard tu me rends visite ce soir, je t'offre en cadeau de Noël cet extrait du concerto pour clarinette de Mozart que j'aime beaucoup. Bonne nuit! Téléchargement 02_ii_adagio.wma
C'est le mot qui me vient aujourd'hui, pour tous ceux et celles qui vivent dans la souffrance, et tout particulièrement pour toi, ma soeur que j'aime tant. Puisse ce grand sapin te communiquer un peu de cette force dont tu as tant besoin.
Et à vous tous amis blogueurs qui avez la gentillesse de me rendre visite, je vous souhaite bien sincèrement un joyeux Noël.
La neige et le froid se sont emparés de la capitale qui en un clin d'oeil a pris des allures de station de sports d'hiver, habillant de blanc les grands sapins
et muselant les cascades.
Les lacs se transforment en patinoire
et les pentes verglacées font la joie des amateurs de bobsleigh.
Attirés par les cris des enfants, les rennes curieux s'approchent prudemment
et les nymphes sorties en hâte de leur bain, contemplent avec surprise ce spectacle insolite.
Lentement, le soir descend sur la ville que la lune et les étoiles enveloppent d'une douce lumière.
Non, non , rassurez-vous, rien qu'un coucher de soleil mais....Biblique, le coucher de soleil ce soir sur la capitale! Le ciel était si flamboyant que les passants, le nez en l'air, semblaient se demander s'ils n'étaient pas les figurants du film culte de Cecil B DeMille, "Les dix commandements". Malheureusement, mon clic-clac n'a pas réussi à détecter la présence de Charlton Eston..!l!
Les réverbères, quant à eux, éblouis par tant de lumière, clignaient des yeux et faisaient grise mine.
amarrée au quai
immense vaisseau de pierre
la cathédrale rayonne
...comme ces escaliers qui se précipitent à la rencontre d'une porte et d'une fenêtre ...murées!
Espérons que le Père Noël n'habite pas au 24...
La place du Caire, tout comme le passage,dans le 2°arrondissement, doit son nom à l'engouement des Parisiens pour l'Egypte à l'époque de la campagne menée là-bas par Bonaparte. Des immeubles cossus érigés dans les années 1798, ornés de lotus et arborant l'effigie de la déesse Hathor témoignent du goût des Parisiens pour l'Egypte ancienne.
Autrefois centre de fabrication des chapeaux de paille qui voisinaient avec des ateliers d'imprimerie et de lithographie, le passage du Caire est aujourd'hui le coeur de l'industrie et du commerce de la confection. Un passage exotique, encombré d'objets hétéroclites qui mériterait lui aussi d'être restauré...
C'est dans ces lieux que se tenait la légendaire Cour de Miracles décrite par Victor Hugo...
un clic pour mieux savourer le texte!
Petit lexique:
les casseurs de hane coupaient les bourses,
les drilles étaient des déserteurs,
les polissons étaient de faux pélerins,
les faux grivois mendiaient devant les églises,
les malingreux, épileptiques ou paraytiques, simulaient des infirmités,
les capons étaient de faux hydrocéphales,
les coquillarts trafiquaient les coquilles qu'ils prétendaient avoir ramenées de St Jacques de Compostelle...A chacun sa spécialité!
Petites notes d'espoir
qui scintillent dans le noir...Le réverbère me rappelle un certain Petit Prince...(clic)
Théatre de l'Odéon
Entre lumière et pénombre, les grands hommes se reposent sous le dôme du Panthéon, qui dresse sa silhouette sur la montagne Ste Geneviève.
A un train de sénateur, les lois se font, se défont et se refont, jusque tard dans la soirée.
Et sous les ors flamboyant au soleil couchant, les petits rats de l'Opéra s'exercent aux entrechats tandis que les danseurs étoiles esquissent un pas de deux.
Les commentaires récents