Le souvenir de Frédéric Chopin flotte
dans les allées du parc Monceau à
Paris. Cet hommage romantique au
compositeur est l'oeuvre de Jacques
Froment-Meurice qu'il réalisa en 1906.
Elle met en scène le musicien
composant la célèbre Marche funèbre.
A ses pieds une allégorie symbolise la
douleur et dans le ciel une femme
ailée, figurant l'Harmonie, sème des
guirlandes de fleurs...

la marche funèbre - qui fait partie de la sonate n°2- fut jouée pour la première fois lors des obsèques du musicien en 1849. Voici ce qu'en disait Liszt : " Aurait-on pu trouver d’autres accents pour exprimer avec le même navrement quels sentiments et quelles larmes devaient accompagner à son dernier repos celui qui avait compris d’une manière si sublime comment on pleurait les grandes pertes ! Nous entendions dire un jour à un jeune homme de son pays : ces pages n’auraient pu être écrites que par un Polonais ! ..." car cette sonate évoque aussi l'histoire douloureuse de la Pologne à cette époque.
Très joli reportage enrichissant!
Bises
Domi
Rédigé par : domiesbonheur | 29.03.2010 à 10:35
Merci Monik pour la partition qui tourne toute seule juste quand il faut !!!
Et Chopin qui joue "les coudes sur le piano" comme le faisait remarquer George Sand (je me demandais comment c'était possible, eh bien démonstration faite : il faut s'asseoir au piano en amazone !)
Rédigé par : qmjd | 29.03.2010 à 17:16
;-)
Rédigé par : Monik | 30.03.2010 à 08:07