...est la première gare construite en Ile-de-France. Je vous invite à remonter le temps...
Son histoire débute en 1837 avec l'ouverture du chemin de fer de Paris à St- Germain. On édifia alors une gare provisoire en bois, l'« embarcadère de l'Ouest », sur la place de l'Europe. De 1842 à 1853 on la reconstruisit un peu plus loin, sur son site actuel. Fleuron de la révolution industrielle, la gare St-Lazare connut son heure de gloire avec la vogue des bains de mer. Elle fut le point de départ des peintres impressionnistes qui, équipés de leur chevalet et de leurs tubes de peinture, empruntaient le train à vapeur en direction de la Normandie. En me promenant sur les quais, je me suis prise à rêver à cette époque passionnante qui vit tant de bouleversements dans la vie de nos aïeux. Et l'envie m'est venue de me livrer à ce petit télescopage d'images ...
Voici la gare actuelle photographiée par mon clic-clac...
revisitée par mon copain Photoshop...
et immortalisée par Claude Monet.
Actuellement la salle des pas perdus est en plein chantier de rénovation. J'espère que les vestiges de sa gloire passée seront sauvegardés. L'avenir nous le dira...
En attendant, merci de m'avoir accompagnée dans ce petit voyage. A bientôt..!
Du célèbre pont de l'Europe peint par Caillebotte en 1876 que reste-t-il ?
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Les croisillons au-dessus du parapet ont été remplacés par des grilles ...
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En regardant l'enchevêtrement des rails
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qui mènent à la gare St-Lazare,
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je me surprends à rêver à cette époque où Monet immortalisait sur la toile la première gare construite en Ile-de-France...
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Ô temps, suspends ton vol!
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oeuvre d'Arman
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Comme le rubyk's cube revu par Vasarely et découvert lors d'une vente aux enchères chez Sotheby's...
ou plus modestement revisité par mon clic-clac à l'aide d'Adobe photoshop..!
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Mais qu'est-ce? Réponse ICI
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Poursuivant mes petites correspondances entre nature , art et paysage urbain ou marin, je vous présente cette photo prise au Pays basque, dans un ravissant petit village de carte postale. Les murs blancs des maisons aux volets rouges, le fronton orange et cet éclairage si particulier d'après l'orage, ces ombres allongées, m'ont fait penser à un tableau de Chirico...Enfin, c'est ce que nous avons ressenti en arrivant dans ce lieu désert à l'heure de la sieste et Dany a bien voulu poser pour renforcer l'impression...!
Aux heures chaudes de l'été, j'aime venir m'asseoir à l'ombre des pins maritimes, là où la rivière et l'océan mêlent leurs eaux, face à la pointe de Combrit. Derrière l'écran des arbres centenaires, on se croirait presque dans une estampe japonaise. Alors, assise sur le petit banc de pierre, je contemple inlassablement le ballet des voiliers qui entrent au port ou bien en sortent.
(Charles Filiger, école de Pont Aven)
Et lorsque le soleil déclinant teinte de rose et de mauve le paysage, je réalise tout étonnée, qu'il est temps de rentrer.
A la manière de Vasarely
le moucharabieh
à travers le regard de mon petit logiciel de retouches
Version originale: Les deux cent quarante diaphragmes conçus par l'architecte Jean Nouvel pour l'Institut du Monde Arabe à Paris, s'ouvrent et se ferment à chaque changement d'heure... Magique!
Le printemps s'installe et les fleurs du parc de Bercy s'ouvrent peu à peu sous la caresse du soleil. Les pivoines attirent le regard des promeneurs et il faut bien reconnaître que ces grosses fleurs aux pétales si généreusement étalés ont un charme intemporel!
Superbes pivoines que j'aime tant, ce n'est pas un hasard si vous inspirez les artistes en tous genres ...
faïence de Gien
Edouard Manet Camille Pissarro
Ambrosius Bosschaert
(images cliquables) Hokusaï
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